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Un dégât des eaux ? Si le sinistre touche au moins deux personnes couvertes auprès d’assureurs différents, les conventions Cide-Cop et Cidre peuvent s’appliquer. Spécialement conçues par les compagnies d’assurances, elles servent au règlement des cas de cumul de garanties.
Est-ce la convention Cide-Cop ou la convention Cidre qui doit s’appliquer ? Tout dépend ici du montant du dégât des eaux.
S’il est inférieur à 1 600 euros hors taxes : pour les dommages matériels (bâtiment, embellissements, raccords de parquets,…) et à 800 euros HT pour les dommages immatériels (pertes d’usage, de loyers, d'exploitation,…), c’est la convention Cidre qui trouve à s’appliquer.
Si le dégât des eaux est supérieur à 1 600 euros hors taxes : pour les dommages matériels en copropriété et à 800 euros HT pour les dommages immatériels, c’est la convention Cide-Cop qui s’applique dès lors que ces dégâts n’engagent pas la responsabilité d’un professionnel (entrepreneur, installateur ou fournisseur).
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Ces deux conventions concernent certains types de dégâts que l’on ne retrouve pas toujours dans les contrats d’assurance habitation.
Elles couvrent les dégâts des eaux qui résultent de fuites, ruptures, engorgements, débordements ou renversements :
S’agissant des conventions Cide-Cop et Cidre, les dommages sont pris en charge par la compagnie d’assurance qui garantit l’assuré lésé.
Dans le cadre de la convention Cide-Cop, la personne lésée peut être :
Dans le cadre de la convention Cidre, la personne lésée peut être :
Dernière mise à jour : le 19/03/2024
L'Assemblée nationale a récemment relancé l'idée d'une garantie universelle des loyers (GUL), une mesure destinée à protéger les propriétaires bailleurs contre les loyers impayés. Si cette idée n'est pas nouvelle, elle avait été introduite pour la première fois il y a une décennie dans la loi Alur, sans jamais être appliquée faute de décret. Aujourd'hui, face à la hausse des expulsions locatives, cet amendement au projet de budget pour 2025 suscite des débats notamment autour de son mode de financement : une taxe sur les revenus locatifs des propriétaires.
Lire la suiteLa taxe foncière, impôt incontournable pour les propriétaires, connaît une hausse constante depuis plusieurs années. En 2024, cette tendance se confirme avec une augmentation moyenne de 4,9 % dans les 200 plus grandes villes de France. Les propriétaires sont de plus en plus nombreux à dénoncer une pression fiscale difficile à supporter, alors que des hausses massives sont observées dans certaines communes.
Lire la suiteEn 2024, 28 % des annonces locatives en France dépassent les plafonds de loyer autorisés, une légère amélioration par rapport aux 30 % enregistrés en 2023 et aux 32 % de 2022. Cependant, la situation reste préoccupante dans certaines zones, notamment à Paris et en banlieue parisienne.
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